Ma conscience dans mes mains

Qu'est ce que je veux dire lorsque je dis que je mets ma conscience dans mes mains ?

L'idée est de ressentir, sentir toutes les parties de mon être de l'intérieur comme si ma conscience se déplaçait en moi, et par extension, à tout ce qui m'entoure.
Je visualise une petite bulle (ou deux) de lumière que j'imagine se déplacer en moi.
Si je veux sentir ce qui se passe au niveau de mes mains, je déplace ces bulles dans mes paumes. C'est comme si la distance entre mes mains et la partie de mon être qui sert d'intermédiaire à mon cerveau n'existait plus.
Comme je suis plus proche des outils (mes mains par exemple) cela amplifie encore le ressenti, senti.
Toujours en visualisant cette (ces) bulle de lumière, il m'est très facile alors de visualiser celle-ci quitter mon corps et passer dans ce que je touche. Je sens donc l'objet de l'intérieur.

Avec l'habitude, je n'ai plus besoin de contact physique. Regarder un arbre par exemple me suffit à le visualiser de l'intérieur.

Je parle d'intermédiaire entre mes mains et mon cerveau pour dire qu'il y a une étape intermédiaire entre mon senti et le passage dans ma conscience.
Une partie de mon corps réagit à la vibration que je cherche (en géobiologie) ou que je perçois (lorsqu'il s'agit d'une personne par exemple). Il y a en moi deux zones privilégiées. Mon cœur et mon dos.

Exemples

  • Si je perçois quelque chose qui est une vérité, je sens un courent d'air froid dans mon dos et mes poils se hérissent. Je sais alors qu'il faut que je sois encore plus vigilant à mon senti et aux mots que j'exprime.

J'ai eu la chance de faire une expérience assez bluffante :

Un collègue, spéléologue m'a proposé de chercher des réseaux souterrains.
La première partie à consisté à trouver l'entrée d'un réseau sans savoir où il se trouve. Il m'a emmené près de l'entrée, je l'ai trouvée.
Ensuite, je lui ai décrit ce que l'on traversait sans être physiquement dans le réseau. Comme il connaissait celui-ci, il a confirmé mes dires.

La deuxième partie de l'expérience, que nous n'avons pas encore pu réaliser, consisterait chercher des entrées non connues de mon collègue, ce qui permettrait de vérifier si je percevais vraiment ce qu'il y avait dans le sous-sol et non dans la tête de mon collègue. A suivre...!