Préambule
Ce que je souhaite échanger avec vous
Je me suis rendu compte que les difficultés que les gens rencontrent, je les ai rencontrées en son temps et pour certaines, aplanies ou éliminées.
Je n’ai pas la prétention de « savoir » ni de détenir « la vérité ». Ma seule prétention est d’avoir appris, compris et expérimenté un certain nombre de choses.
Ce que j’exprime dans ce document est une image, une synthèse de MA compréhension, de MES expérimentations.
Vous pouvez très bien ne pas du tout être d’accord avec moi. Cela ne me pose aucun problème.
Appliquez ce précepte : Prenez tout, expérimentez, gardez ce qui est bon pour vous et mettez de côté ce qui ne vous convient pas. Cela n'est peut-être pas bon pour vous ou vous n'êtes pas encore en mesure de comprendre. Cela vous aura permis, sûrement, de trouver ce qui est « vous ».
Vous pouvez très bien ne pas entrer dans cet enseignement et considérer que le magnétisme et bien sûr la radiesthésie en général ne sont que des outils que l’on peut utiliser en cas de besoin sans être obligé de comprendre leurs fonctionnement.
Mon apprentissage m’a montré que, plus ma compréhension est précise, plus je nourri mon inconscient et plus je peux laisser mon intuition me guider.
Exemple ; pour être radiesthésiste médical, il est indispensable d’avoir des connaissances en anatomie du corps humain. Je ne pense pas qu’une personne n’ayant aucune connaissance de cela puisse déterminer avec précision l’origine d’un problème médical. Sauf bien sûr si les informations sont issues d’une autre dimension de l’Etre (par exemple Edgar Cayce…).
Je souhaite donc échanger avec vous mon apprentissage, ma compréhension de l’être humain, mes expériences et ma pratique. En fait, ce qui m’a permis de développer mon ressenti, magnétisme et radiesthésies.
Mon document est construit avec comme point de départ la naissance, puis il va de l’humain vers le divin en lui, ainsi que de la structure en place pour passer de l’un à l’autre. Il termine par un certain nombre d’exercices à pratiquer .............. Ou pas.
Bonne lecture à vous
Marc
Attitude vis-à-vis de la pratique
Le magnétisme est cette énergie qui permet la circulation dans le corps physique et entre les différents corps éthériques et l’âme, qui par son équilibre permet de rester en bonne santé.
Elle a donc une dimension physique et spirituelle. Quand nous pratiquons le magnétisme, nous sommes non pas dans l’humain, mais dans « L’ETRE » humain.
J’approche une personne avec ma dimension humaine et spirituelle. Donc je peux avoir accès à son histoire, blessures et peurs et elle aux miennes, à partir du moment où, même inconsciemment, elle et moi nous ouvrons des portes qui permettent d’y avoir accès. Je dois être propre (net, clin). Mes pensées doivent être apaisées, mon énergie harmonisée et élevée.
Pour ne pas être soumis aux « miasmes » et autres, je ne fais pas de barrage, protection, car cette barrière, ce filtre, marche dans les deux sens. Elle bloque des choses à l’extérieur mais bloque aussi des choses qui aimeraient ou ont besoin de sortir. La protection est réalisée par l’élévation de ma vibration par des exercices de respiration. Il y a un adage qui dit : « j’attire ce que je vibre. » Donc je crée une barrière électromagnétique qui empêche les vibrations basses de m’atteindre.
Vu que j’approche un « ETRE » humain, je n’ai pas la prétention de savoir ce dont il a besoin. Je ne suis qu’un outil, instrument, intermédiaire physique.
Je demande donc en quoi je peux être utile.
Le senti, ressenti sont en lien direct avec l'état intérieur.
Qui gère le corps physique ? Son état intérieur ? C'est le « corps émotionnel ». C'est lui, qui par l'intermédiaire de nos glandes endocrines règle le corps physique. De quoi est imprégné ce corps émotionnel ? De tout ce qui est engrangé depuis notre naissance, que ce soit positif ou négatif, conscient ou non, cicatrisé ou non ainsi que de notre histoire d’âme. Nous avons un disque dur intérieur dont la capacité de stockage est infinie.
C’est pour cela qu’il est important d’apaiser son mental (par la méditation quotidienne, par exemple), d’apprendre à ne plus juger (celui qui juge considère que ce qui est lui est mieux que ce qui est l’autre. C’est donc un sentiment de supériorité).
Voilà, voilà ... fin de mon préambule.